Le Village lunaire est un concept pour l'instant peu précis de l’Agence Spatiale Européenne qui prévoit une station permanente sur la Lune ouverte aux différents États du monde participants, et ceci à l'horizon 2030.
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Robonaut 2 (souvent abrégé R2) est un robot humanoïde né du Programme Robonaut, une étroite collaboration entre la NASA et la DARPA. Un exemplaire a été livré par la navette spatiale Discovery lors de la mission STS-133 pour l'ISS (février 2011) où les ingénieurs vont contrôler la manière dont le robot fonctionne en apesanteur. (Wikipedia)
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"Je rêverais d'aller sur Mars. Ce serait le rêve total ! Il faut imaginer être sur une planète ou personne n'est jamais allé"
Lien vers l'extrait audio Envoyé spatial de Franceinfo :
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Le lanceur de 2020 allie solutions éprouvées et innovations pour répondre aux besoins évolutifs du marché spatial. Modularité et flexibilité sont les maîtres mots du lanceur permettant d'adapter sa capacité sur une orbite optimisée avec Ariane 64 et Ariane 62. Lire plus
Le tourisme spatial est l'activité touristique qui regroupe l'ensemble des expériences, entraînements, vols à sensations, qui permettent à des personnes d'aller dans l'espace pour des motifs non professionnels.
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Aquapad permet de détecter les bactéries dans 1 ml d’eau.
Le CNES, l’agence spatiale française, vient de reconduire son partenariat avec les laboratoires bioMérieux pour la mise au point d’un dispositif de diagnostic microbiologique de l’eau bue par les astronautes dans la Station spatiale internationale (ISS).
Le système Aquapad a fait partie des 7 expériences mises au point par le CNES pour la mission Proxima de l’astronaute français Thomas Pesquet (qui en a réalisé au total plus d’une centaine pour l’agence spatiale européenne et la NASA) en 2017.
Les ingénieurs du CADMOS, centre d’aide au développement des activités en micropesanteur et des opérations spatiales basés au centre spatial de Toulouse, ont préparé et suivent encore l’utilisation de cette innovation avec les astronautes européens à bord de l’ISS, dont le dernier en date l’Italien Paolo Nespoli.
Le système Aquapad permet de détecter et dénombrer la microflore bactérienne présente dans 1 ml d’eau. En présence de bactéries, l’astronaute voit apparaître des points de couleur. Il lui suffit alors de photographier le PAD avec l’application mobile «EveryWear» (également développée à Toulouse) pour obtenir le nombre de colonies de bactéries présentes dans l’échantillon d’eau. Grâce à une facilité d’interprétation intégrée au processus, le dispositif ne laisse aucun doute à l’astronaute quant à la potabilité de l’eau. L’enjeu est de taille, notamment si on imagine des missions spatiales plus lointaines. L’application est également tout indiquée dans les zones d’épidémies.
Surtout, Aquapad offre un gain de temps par rapport au dispositif de la Nasa actuellement présent dans l’ISS.
Les astronautes pourraient ainsi gagner jusqu’à 2 heures de manipulation. Une nouvelle version plus ergonomique et plus performante d’Aquapad a été conçue et testée dans les laboratoires de la NASA. Les résultats sont très satisfaisants et le système entre en phase de qualification pour faire d’Aquapad le dispositif utilisé systématiquement à bord de l’ISS et des véhicules d’exploration. L’utilisation d’Aquapad sur Terre est également d’actualité, des tests étant prévus sur la base antarctique Concordia en collaboration avec l’Institut Paul-Émile Victor.
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